mardi 26 mai 2020

Fin de mandat [remis à jour]

samedi 7 mars 2020

Cérémonie à la mémoire de Pierre SEMARD



jeudi 13 février 2020

Dernier conseil municipal du mandat, par La NR

"La gare scolaire s’invite dans le dernier budget du mandat" - La Nouvelle République, 12/02/2020


Le dernier conseil municipal du mandat
de Marc Angenault s’est tenu lundi soir.

© (Photo NR, Charles-Antoine Jaubert)
 
[...]
La capacité de désendettement est de 9,7 années. Elle avait atteint 21,5 années en 2016, « une année difficile », qui s’explique par « l’effet de la renégociation de l’emprunt structuré » (emprunt toxique, NDLR). Pour maîtriser l’endettement (l’encours de la dette est prévu à 11.127.000 euros en 2020), la Ville prévoit un emprunt dit d’équilibre de 1,9 M€ maximum sur lequel seront affectés 500.000 € pour la gare scolaire. 


"Travaux, plainte et remerciements…" - La Nouvelle République, 12/02/2020


[...]
En fin de séance, le maire a remercié « l’ensemble du conseil municipal » et les agents de la Ville à un mois des élections. « Les séances ont été quelque fois animées, houleuses, tendues, mais sereines et avec du respect », a-t-il souligné. Évoquant la représentativité des élus, « c’est la meilleure des démocraties, c’est le choix du peuple qui est fait à travers les élus ». 



lundi 3 février 2020

A l’heure du bilan

Porte-parole du groupe « Loches : changer d’ère ! », je souhaite profiter de notre avant-dernière « tribune libre » publiée dans Loches Actualités pour remercier, une dernière fois, les Lochoises et Lochois qui par leur vote en mars 2014 nous avaient accordé leur confiance et sur lequel reposait notre légitimité à animer le débat local et la démocratie représentative à Loches pendant ces six ans de mandat.
Je tiens aussi à remercier mes anciens colistières et colistiers de notre liste candidate de 2014, conduite par Jean-Marie Beffara, de la confiance qu’elles et qu’ils m’avaient témoignée, au lendemain de la défaite électorale, en m’élisant unanimement porte-parole de l’opposition municipale pour ces six longues années ; j’espère en avoir été digne.
Je veux aussi remercier les conseillères et conseillers municipaux de notre groupe d’élu-e-s qui ont siégé à mes côtés tout au long de ce mandat communal : Françoise Lesny-Vardelle, Marc Vincent, Christiane Bonvalet [qui a remplacé dès 2015 Franck Roussel] & Philippe Adam [qui a remplacé depuis 2017 Johanne Breton].
Après la trahison de Mme Paquereau qui s’était autoproclamée « conseillère municipale indépendante » dès le conseil municipal d’installation [soit quelques jours seulement après le vote unanime évoqué ci-dessus], je veux les remercier pour leur fidélité, leur solidarité, leur dévouement ; leurs valeurs, leurs réflexions, leurs engagements pour notre ville, son territoire et pour ses habitant.e.s !

A l’heure du bilan, nous avons siégé à plus de 42 conseils municipaux, été représentés à plus de 90 cérémonies ou commémorations, rédigé les 65 « tribunes libres » mensuelles de Loches actu ; publié plus de 340 articles sur notre site internet, plus de 640 tweets et au moins autant sur facebook, adressé par courriel à plus de 700 Lochois près de 9 newsletters trimestrielles, etc. Pour expliquer inlassablement ce que nous avons fait pour Loches et ses habitant.e.s... Et que vive la démocratie locale !

 
Photos : La Renaissance lochoise, La Nouvelle République
& Loches : changer d'ère !

 
Pour les élu.e.s du groupe « Loches : changer d’ère ! »,
Denis Maljean, Conseiller municipal.


dimanche 5 janvier 2020

Bonne année [électorale] 2020 !

© Gaultier Photography
Comme de tradition, nous profitons de notre “tribune libre” du mois de janvier pour vous adresser nos voeux, les meilleurs, pour cette nouvelle année... 

La dernière du mandat 2014/2020 puisque les élections municipales sont programmées le dimanche 15 mars. 
Ce qui n’a pas empêché le maire et sa majorité, lors du conseil municipal de décembre, soit tout juste 3 mois avant ce rendez-vous démocratique, de voter le nouveau Plan local d’urbanisme [PLU] de Loches : la traduction REGLEMENTAIRE de leur projet de développement de notre ville pour les 10 années à venir... 
 Il est vrai que la démarche de révision du PLU avait été engagée il y a près de 2 ans ; et que nous ne pouvons que déplorer la pauvreté de la participation citoyenne (très faible participation des habitants aux réunions publiques ; enquête publique qui ne se résume qu’à des cas particuliers.) 
 
Plusieurs questions restent pour nous en suspend et méritent des éclaircissements. Elles ont été formulées publiquement lors du dernier conseil municipal, sans relais, aucun, dans la presse locale : 
  • La ligne ferroviaire, dont nous prenons acte de la prudence de la SNCF dans sa réponse pour son avenir proche. Pourtant cette ligne est structurante pour la ville et son territoire, tant pour l’installation de nouvelles familles pouvant aller travailler rapidement et en sécurité dans la métropole tourangelle ; que pour le fret, dans son rétablissement jusqu’à Châteauroux, pour limiter la circulation poids lourds sur la RD 943.
  • La route départementale 943. Nous remarquons également la même « prudence », pour ne pas dire plus, des services du Département quant à son évolution dans la région lochoise… Pourtant un axe majeur pour son désenclavement. 
  • L’accueil des populations nomades. Nous l’avions déjà exprimé : payer près de 100 000 € des études prospective de l’aménagement du territoire communal en repoussant ne serait-ce que les prémices d’une réflexion sur plan semble ni responsable ni cohérent. 
  • La possible ou l’impossible ? “Densification urbaine”. Remarque de l’Etat sur la proximité de la “rocade” traitée uniquement par le prisme individuel phonique… Et les pollutions atmosphériques des habitations ??? Les zones sous-cavées non connues sous les futures zones à lotir… L’interdiction de densification des “écarts” ou hameaux… Le mythe du logement en appartements en zone rurale (ex école Vigny, futur ex centre René-Guillier, ex gendarmerie…)


Pour les élu.e.s du groupe “Loches : changer d’ère !”, 
Denis Maljean, Conseiller municipal.


mardi 31 décembre 2019

"Douze choses de 2019 à retenir" par La NR



vendredi 20 décembre 2019

Au sujet des élections municipales de 2020 à Loches

"A gauche, la fin politique de « Loches changer d’ère »"- La Nouvelle République, 19/12/2019


Christiane Bonvallet, Denis Maljean et Françoise Lesny-Vardelle, du groupe « Loches changer d’ère »,
lors du conseil municipal de vendredi dernier.
© Photo NR

La non-candidature de Denis Maljean, chef de file de l’opposition de gauche, signe la fin du groupe politique « Loches changer d’ère » en mars prochain.

Denis Maljean, patron de l’opposition municipale du groupe « Loches changer d’ère », a annoncé en septembre sa non-candidature à la fonction de maire en mars prochain. Pour des raisons personnelles. Au sein du conseil municipal, ce groupe est constitué de cinq élus. Depuis cette décision, ses quatre colistiers vont-ils continuer l’aventure ?
« Pour moi, la suite est claire. J’ai une valeur cardinale, c’est la loyauté, précise Françoise Lesny-Vardelle. Denis (Maljean) ne se représente pas, avec tous les regrets que cela procure, je n’envisage donc pas de poursuivre. Je sais que beaucoup de Lochois regrettent qu’il n’y ait plus de liste de gauche ». L’élue gardera « un œil citoyen » sur la vie de la cité. « Cela paraît difficile de tourner le dos à la vie politique. Notre groupe a plutôt bien fonctionné pendant ces six années ».

« Beaucoup de Lochois regrettent qu’il n’y ait plus de liste de gauche »

Christiane Bonvallet ne s’engagera pas dans une autre liste. « Avec ce groupe, on a dit des choses intéressantes en conseil municipal. Il n’y a pas la volonté de s’opposer mais de faire entendre notre voix », estime-t-elle. Est-ce la fin de la gauche locale ? « Je n’ai pas connaissance d’une constitution d’une liste de gauche », avance-t-elle.
Denis Maljean, lors de son annonce de retrait, a évoqué l’ancien monde et le nouveau monde en politique, dans lequel il ne se retrouvait pas forcément.
« Je n’ai pas l’impression de faire partie de l’ancien monde, sourit Philippe Adam. Pour ma part, je termine le mandat et après on verra. Je soutiendrai les initiatives qui sont inspirées de ce groupe qu’avait créé Jean-Marie Beffara ». Ce qu’il a appris de son mandat ? « Loches n’est pas un territoire facile pour l’opposition. Il faut de la disponibilité face à des personnalités très installées. Le débat politique y est verrouillé ».
Dans ce groupe, Marc Vincent a une étiquette plus centriste. Il est un des premiers macronistes du Lochois, animateur local de La République en marche (LREM). Il avait apprécié la liste d’ouverture conduite par le socialiste Jean-Marie Beffara pour les élections de 2014. « La liste “ Loches changer d’ère ” a vécu, c’est dans l’air du temps. En six ans, il s’est passé beaucoup de choses au plan national et local », analyse-t-il. Le patron du Luccotel se dit « être dans une phase de réflexion et de contact » pour les municipales.
Mais pas au point de faire émerger une liste LREM. « A l’échelle d’une ville comme Loches, on a plutôt intérêt à rassembler les bonnes volontés. La population attend autre chose de la politique, que les élus travaillent pour l’intérêt collectif. LREM a pour stratégie de se construire et se développer. Il n’y a pas d’ambition surdimensionnée, on est quand même dans une ville rurale ». Loches ne fait pas partie des prises de guerre envisagées par la sphère macroniste.

Ils disent non au collectif d’Anne Paquereau

Aucun des colistiers de « Loches changer d’ère » n’ira rejoindre le collectif citoyen d’Anne Paquereau. Leur ancienne colistière avait fait dissidence après avoir été élue dans l’opposition. Elle avait quitté le groupe après ne pas s’en être vu confier la direction après le départ de la tête de liste Jean-Marie Beffara.
Françoise Lensy-Vardelle reste dubitative sur les ambitions d’Anne Paquereau, qu’elle ne voit pas s’effacer au nom du collectif : « Un collectif sans chef, c’est bizarre » dit-elle. Même réflexion de la part de Christiane Bonvallet, qui estime, de plus, que « c’est une liste qui va rallier les extrêmes ». Pour Philippe Adam, « Rejoindre Anne Paquereau, c’est inenvisageable ! ». Même réaction de Marc Vincent : « C’est incompatible avec l’historique de notre groupe ». Le départ d’Anne Paquereau en 2014 pour faire cavalier seule est toujours vécu comme une trahison par le groupe « Loches changer d’ère ».

Xavier Roche-Bayard